Revenir à la rubrique : Faits divers

De l’amiante trouvée à la gendarmerie de St-Paul

La France n’en a pas fini avec le désamiantage de ses anciens bâtiments. Une partie des locaux de la gendarmerie de Saint-Paul connaît le même sort actuellement. Alors qu’elle procédait à la rénovation de locaux techniques au camp de l’Etang, qui habrite la brigade territoriale autonome de Saint-Paul, les responsables de la gendarmerie ont dû […]

Ecrit par zinfos974 – le mardi 03 janvier 2012 à 15H17

La France n’en a pas fini avec le désamiantage de ses anciens bâtiments. Une partie des locaux de la gendarmerie de Saint-Paul connaît le même sort actuellement.

Alors qu’elle procédait à la rénovation de locaux techniques au camp de l’Etang, qui habrite la brigade territoriale autonome de Saint-Paul, les responsables de la gendarmerie ont dû stopper ses travaux à cause de la découverte de structures contenant de l’amiante.

La première entreprise, non habilitée à retirer le délicat matériau va bientôt laisser la place à une autre entreprise agréée pour une telle procédure. « Une entreprise spécialisée va venir », concède le commandement de la gendarmerie de la Réunion.

Cette dernière se veut totalement rassurante. « Les parois contenaient de la fibre de ciment (souvent appelée fibrociment). Les travaux ont été suspendus en attendant des analyses approfondies ». Mais selon le commandement de la gendarmerie, il ne s’agit aucunement de matière friable et donc volatile. Aucune inquiétude donc à avoir.

Par mesure de précaution, les personnels qui avaient leurs bureaux dans ces locaux techniques ont été déplacés dans des bureaux attenants. « Il ne s’agit que de locaux techniques, il n’y a pas eu de relogement ou autre » insiste le commandement de la gendarmerie.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : « La fin ne saurait justifier les moyens »

La procureure de la République Véronique Denizot a demandé la condamnation des 11 prévenus de l’affaire des emplois présumés illégaux de la Région, ce jeudi lors de la quatrième journée du procès, une peine de 5 ans d’inéligibilité étant notamment requise pour l’ancien président Didier Robert, visé pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds . L’actuelle mandature de la Région, partie civile du procès, a demandé un préjudice à hauteur de 1,5 million correspondant à la somme des salaires versés aux huit conseillers techniques poursuivis pour recel.

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : « Nous étions des facilitateurs »

Au troisième jour du procès sur les emplois présumés fictifs à la Région sous les mandats de Didier Robert, six prévenus ont témoigné, affirmant leur engagement et leur innocence. Yves Ferrières, Sabrina Ramin, Yannick Gironcel, Jean-Charles Maroudé, Ravy Vellayoudom, et Yoland Velleyen ont décrit leurs rôles sans pour certains fournir cependant des détails concrets sur leurs missions. Le procès continue aujourd’hui avec les dépositions attendues de Vincent Bègue et Didier Robert et les réquisitions du parquet qui permettront sans doute d’en savoir plus sur ce qu’a révélé l’enquête menée par les policiers parisiens.