Ce matin, France Inter a consacré l’une de ses rubriques à Danyel Waro. Notre chanteur de maloya a été choisi pour le « zoom de la rédaction ».
Le chroniqueur a rapidement rappelé les origines du maloya et ce qu’il représentait, à savoir la révolte des esclaves. Il a notamment été souligné que Danyel Waro a forgé ses identités créoles en prison en métropole. C’était sa rébellion à lui, celle d’avoir refusé de porter l’uniforme.
Quelques extraits de son nouvel album ont été diffusés ce matin, notamment la chanson qu’il partage avec le chanteur sud-africain, Tumi.
Son nouvel album « Aou amwin » (pour l’anecdote, prononcé « Aou amwine » par le chroniqueur) est dans les bacs de la Réunion comme de la métropole.
Le chroniqueur de France Inter a conclu ainsi, « aujourd’hui le maloya est à Danyel Waro ce que le reggae est à Bob Marley ».
Danyel Waro, qui recevra le Womex Artist Award le 31 octobre prochain, continue ainsi de faire parler de lui dans les médias et d’être considéré comme le plus grand chanteur, poète et compositeur de maloya.