Tout semble être parti d’un tweet de Thierry Galarme, président du MEDEF Mayotte, condamnant « fermement les propos démagogiques de Patrick Karam de nature à créer la haine entre communautés à La Réunion et ailleurs« . Sous entendu à Mayotte.
De quels propos s’agit-il? Apparemment de ceux du président du CREFOM dénonçant le « recrutement sur commande » d’une candidate métropolitaine, Virginie Chaillou-Atrous, en lieu et place d’un Réunionnais plus diplômé et ayant l’avantage de mieux connaitre le terrain local, pour pouvoir au poste vacant de Sudel Fuma.
Puis le débat se déplace sur Facebook.
Thierry Galarme reproche au président du CREFOM de l’avoir bloqué sur Twitter. Ce à quoi Patrick Karam lui répond que « injurier et diffamer, ce n’est pas participer à un débat« . Avant de le menacer de poursuites judiciaires…
Chaud, le débat…
La réponse de Patrick Karam ne s’est pas faite attendre, toujours sur Tweeter : « Votre tweet est diffamatoire. Vous vous prononcez sans connaitre le dossier comme à votre habitude« .
Apparemment, le contentieux entre ces deux là ne date pas d’hier…