Son interrogatoire suite à la découverte d’une bombe factice sur le vol Maurice-Paris du 20 décembre dernier a été un « calvaire » a indiqué hier sur les ondes de Freedom, repris par Le Quotidien, une passagère réunionnaise du vol Air France 463.
En effet, cette dernière, qui voyageait en compagnie de son bébé et de son oncle, s’est montrée très critique vis-à-vis des enquêteurs kenyans, qui l’auraient traitée comme une suspecte, après qu’ils aient découvert un détonateur sous le siège de cette dernière.
C’est en arrivant sur le sol kényan que la jeune femme se rend compte qu’elle reçoit un traitement à part par rapport aux autres passagers. « La jeune femme se souvient de l’interminable attente , de l’incompréhension car elle ne parle pas bien anglais , et de la peur de ne pas rentrer en France« , écrit Le Quotidien.
La jeune mère de famille compte demander des réparations à Air France pour le préjudice physique et moral subi et pense faire appel à un avocat prochainement.