u[Une hausse des impôts et de l’argent jeté par les fenêtres]u
i[« On sait que Michel Dennemont s’associe au parti communiste, et au maire de St leu pour embraser les quartiers populaires qui crèvent de la vie chère. Et pourtant, il augmente les impôts. Pourquoi ? Pour subventionner le « foot-fric », faire des études pour des projets très hypothétiques, renouveler le parc auto encore en bon état, et augmenter le coût de fonctionnement de la mairie. Le conseil municipal de ce 16 mars est une farce.
Rien n’est fait pour réduire le train de vie des élus et des services ; rien n’est fait pour développer les activités économiques ; rien n’est fait pour dynamiser les Avirons. En revanche tout est fait pour enrichir un clan et favoriser les amis. Les déclassements douteux, les étranges viabilisations de terrains se multiplient sur le territoire des Avirons.
Si l’actuelle majorité voulait réellement lutter contre la vie chère, elle pourrait le faire.
Nous lui donnons des idées et nous faisons sans cesse des propositions pour réduire le train de vie de cette municipalité.
Nous ne sommes pas dans l’opposition systématique. Mais, il est hors de question de laisser quelques-uns s’enrichir avec l’argent du contribuable et laisser sur le trottoir de la misère et du désœuvrement notre jeunesse et l’ensemble des familles avironnaises.
Nous assistons à une mascarade de démocratie. Le maire déforme la réalité des procès verbaux des différents conseils municipaux, il donne la priorité à des projets sans importance, il claque l’argent qu’il n’a pas, et prétend être le chantre de la lutte contre la vie chère. C’est à pleurer !
Nous demandons de la sincérité. De la sincérité dans le budget, dans les actes, dans les projets et surtout dans les rapports humains.
Nous en avons assez d’être soumis à une municipalité vieillissante, usée par le pouvoir, conservatrice d’un système subventionné à coup de milliers d’euros, système qui n’a jamais fait ses preuves.
Le groupe conduit par Eric Ferrere, dénonce et accuse l’actuelle majorité d’enterrer les Avirons et ses talents dans la fosse commune de la démagogie et du clientélisme ».]i
