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Accusé d’avoir enlevé son fils à Maurice pour l’emmener à la Réunion

Une Mauricienne de 26 ans, Francesca Capiron, accuse le père français de son enfant d’avoir enlevé ce dernier pour rejoindre précipitamment la Réunion le 20 avril dernier. Comme le rapporte Le Dimanche Hebdo, Michel, âgé de 64 ans, a récupéré leur fils dès le mois de mars à sa sortie de garderie, et ne donna […]

Ecrit par S.I – le lundi 22 juillet 2013 à 10H34

Une Mauricienne de 26 ans, Francesca Capiron, accuse le père français de son enfant d’avoir enlevé ce dernier pour rejoindre précipitamment la Réunion le 20 avril dernier.

Comme le rapporte Le Dimanche Hebdo, Michel, âgé de 64 ans, a récupéré leur fils dès le mois de mars à sa sortie de garderie, et ne donna plus aucun signe de vie à la mère.

Francesca Capiron décide alors de porter plainte pour enlèvement contre le père de son enfant. « J’ai appris qu’il me fallait un ordre de la Cour pour pouvoir récupérer mon fils (…)  Mais quand la police s’est rendue chez Michel, mon fils et lui étaient introuvables. J’ai appris qu’ils vivaient au Morne », affirme-t-elle dans les colonnes du journal.

Entre-temps, le père intente une action auprès de la Cour Suprême pour avoir la garde du petit garçon afin que l’enfant puisse se rendre à la Réunion pour des soins médicaux. Mais quelques temps après, il retire subitement sa demande et se volatilise dans la nature avec son enfant.

Ce n’est qu’à la mi-mai que cette dernière apprend par les services de l’immigration que son fils, accompagné de son père, a quitté l’île Soeur pour la Réunion depuis plus d’un mois.

« Techniquement, j’avais la garde de mon fils. Mais je suis toujours sans nouvelles du petit », conclut Francesca.

 

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Sorel
il y a 14 jours

Tout à fait par le plus grand des hasards, j’ai pu reconnaître cet individu, il y a quelques jours,(mars 2024), qui a enlevé le fils de Francesca Capiron. Il vit accompagné de l’enfant dans un tout petit studio squatté,dans une ville très touristique de la France, depuis de nombreuses années.
Je souhaite avoir un contact par mail avec la mère pour la rassurer et avec l’autorité judiciaire de l’île Maurice par l’intermédiaire de la police française, de l’ambassade ou d’Interpol à Lyon.

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