A la lumière de mes envies naissent mes peurs,
Éblouis de désirs, soumis à ta fureur,
Je ne peux oublier le vœu que je t’ai fait.
Au malheur de n’être qu’un oublié, je m’en vais.
J’avoue que je t’ai rendue triste malgré moi.
J’avoue que tu as pleuré à cause de moi.
J’avoue tu y as cru…en nous…en moi.
J’avoue que tu n’aimes plus…plus rien de moi.
Le soupir a remplacé mon rire à jamais.
A l’obscurité, j’ai voué mes peines, clouées…
Au crucifix de ma vie, j’ai perdu ma femme.
Le ciel est toujours bleu, les roses toujours roses.
Le temps s’écoule à l’identique, le sang aussi.
L’espoir naîtra quand je vivrai mon rêve de toi.
Neo Geronimo