Le procureur Zukowicz avait sollicité une peine alternative pour que cette dame réfléchisse aux conséquences de ses actes. Une peine normale. Une peine venue d’un humaniste.
Le tribunal, dans son immense n’importe-quoi soixante-huitard, a jugé utile de coller 6 mois à cette dame.
C’est à se la prendre et se la mordre. Sylvia Otello l’a dit : « Aujourd’hui, je ne peux plus rien dire à mon fils. Il a compris qu’il avait le droit de tout faire ».
Elle l’avait corrigé après une énième convocation de la police : Son fils passe son temps à agresser femmes, enfants, vieillards et invalides avec ses potes, de sales cons habitués de Cayenne !
Nous même, présent à l’audience, nous avions relevé que ce voyou, son fils, n’était pas du tout concerné par sa mère. Il discutait, riait, avec un autre délinquant, lequel passait son temps à insulter les juges et le procureur, à insulter la France et ses lois et, en passant, injuriait la presse. Le fils de madame Otello avait même tenté de s’en prendre à un avocat et comme cela se passait tout à côté, je m’apprêtais à me démolir à coup de béquille (c’est, après tout, un gros tonfa !)
Les abrutis angéliques persistent à dire qu’il y a d’autres moyens que la correction. FAUX ! Certains ne comprennent pas la discussion : faut cogner, et sec !
Je connais un père de famille obligé de se défendre contre son propre fils abruti au cocktail zamal/pile plate/artane. Il devait se laisser démonter le portrait ?